La barrière.

La terre disparaît, en se couchant, pour bien dormir sur l'horizon qui s'évanouit.
Un chemin passe là, frôle les corbeilles d'argent et leur panache bien blanc.
Une barrière, sans portail, invite à aller plus loin. Pousse à la découverte.
Qu'y a-t-il dans cet ailleurs? Qu'y a-t-il là bas? Juste derrière la barrière?

Un monde différent, à l'abri des regards indiscrets, et pourtant si proche de s'offrir à la soif des esprits rêveurs. C'est un bout de jardin qui tend les bras... pour un printemps de poésie.

Comments

[TJ]

Papillonnant dès que je me cache au fond de mes godillots, voila un endroit où ils m'emmèneraient volontiers...
Juste après, ...
et pourquoi pas, regarder la terre tourner.