2 février 2010
Souvenir...
Un Dieu, le tien je crois. Un athée, moi, même pas un amant pour faire semblant.
Une histoire à peine commencée, la notre.
Ton corps, pourtant nu avec mes mains dessus, qui bouge sans se dérober.
Un rêve, le mien, récurent. Tes yeux fins, délicats, menteurs.
Le soleil, celui de ton Dieu, qui brûle mon cœur dès le matin.
Est-ce toi qui referme la porte ?
Est-ce moi qui grelotte ?
Je suis seul, déçu. J’ai déchiré tes lettres, jeté ton souvenir par la fenêtre.
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