27 septembre 2010
Terrasses malouines.
Étrange mouvement de la nuit qui frôle, humide et fraîche, les passants, les voyageurs assis en terrasse...
Ils attendent un jour nouveau, un mot tiède, une main curieuse, un mot doux, une âme rieuse.
La nuit s'étonne de bleu, de reflets délicieux aux odeurs de pépites d'or...
Pendant que des pas légers s'effacent sans bruits du monde des vivants.
Le vent se faufile entre les tables blotties sous des bâches rouges et blanches qui les abritent.
Voile généreux et protecteur...
Que j'oublie dans ton rire cristallin, brillant comme une minute de bonheur sans fin!
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S
M