8 novembre 2010
La nuit folle...
Voilà la ville qui bouge, rentre en transe et dévore mon dernier rêve d'amour...
La nuit engloutit mes rires d'enfants silencieux, ferme mes yeux d'une claque rapide.
Dansez, esprits malins, l'heure vous appartient, la lune n'est pas loin.
Pas amples, costumes ajustés, rythme suggestif, déhanchement prometteur...
Et si, à la place d'avoir peur, je laissais glisser mes mains sur ses hanches accueillantes;
Je collais mon ventre sur le sien, mes cuisses entre les siennes...
La déesse du soir m'invite à l'amour charnel... avec des yeux brillants, un corps providentiel...
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