23 septembre 2009
Lueurs automnales.
Tu fermes les yeux, Peu à peu. Été doucereux, Ton écharpe de brume serpente, Élégante, entre le ciel et la terre brune. L’attente incertaine s’incruste dans le sol, L’air et nos cœurs attendris. La colline, effacée par le matin silencieux, Laisse s’envoler...