8 novembre 2009
Un port, une nuit...
Longs silences langoureux, clapotis le long d’un quai, un soir d’été. Je laisse tomber mon armure, cette lourde carapace de faux-semblants… La nuit tiède colle à ma chemise… L’orage rode dans ma rage épuisée. Des femmes m’appellent, m’offrent leur désespoir...