2 octobre 2012
L'absence.
Mon coeur respire comme une horloge fatiguée.
Les minutes barbares qu'elle égrène, avec la négligence d'un tic-tac ininterrompu, m'épuisent avec passion.
Mon sang s'est-il évaporé?
Je sens la lourde inconscience des minutes évaporées et je cherche les ombres de ma raison dans la maison...
Il n'ya que des murs humides et un silence abandonné.
Le poids de ton absence, même pour une minute ou deux, et si pesant!
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