28 décembre 2010
Les pavés humides de Saumur.
Mes mots tremblent comme des silences répétés, flous et lascifs comme des baisers en quête d'un visage...Le temps m'agace tant quand tu n'es pas là!Et pourtant... Tu as la soif d'être à toi qui te dévore. Alors je laisse le jour mourir sur tes épaules...